Zoophilie, pédophilie… Libération ! (Jean-Luc Hennig, Zina Rouabah)

On a touché le fond, et on a pas fini de creuser pour descendre encore plus bas…. Si la vidéo disparaissait, voici le lien de sauvegarde : https://archive.org/details/zoophiliepedophilie.liberationjeanluchennigzinarouabah

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Source : La chaîne qui pique ! Jean-Christophe Rabiller, artiste autoproclamé

Dans les années 70/80, le journal Libération a fait l’éloge de la pédophilie dans des dizaines d’articles. Parmi les collaborateurs de cette entreprise bien dégueulasse, on trouve Zina Rouabah (ancienne directrice de la publication, cofondatrice de l’agence Vu), feu Christian Hennion (journaliste pédophile ayant abusé sexuellement Franck Demules dans son enfance) et feu Serge July. Pendant ce temps Jean-Luc Hennig (écrivain, journaliste) cosignait un ouvrage pro-pédo ( https://www.youtube.com/watch?v=7E1M0… ) et réalisait des enquêtes sur les zoophiles « heureux ». Il est interdit d’interdire…

7 comments

  • Thieery65

    L’aberration qui touche ce torchon ne date pas d’aujourd’hui.
    En cherchant un peu on trouve les confirmation jusque sur le site wikipédia.

  • Thierry65

    Vidéo déja bloquée sur youtube.

    • Voltigeur

      D’où le réflexe incontournable du mettre les contenus qui dérangent dans la weback-machine (archives du net ). Punaise on ne peut plus rien dire ou montrer. Le gars a été obligé de mettre ses vidéos en privé pour ne pas que sa chaîne saute. Il a un avertissement pour une « image », soi-disant les droits d’auteurs….

  • Biquette

    « Si le propriétaire de cette vidéo vous a autorisé à y accéder, connectez-vous !  »
    Ah bon ? YT devient un club privé où il faut montrer patte blanche pour accéder à une vidéo ?

    Il y a quelques jours, j’entendais une chronique qui expliquait que les interdits en matière de pédophilie étaient très récents. C’était une pratique courante et personne n’y trouvait à redire.
    Ce qui m’a stupéfiée, c’est le ton neutre qu’employait le chroniqueur. Rien sur les victimes, sur ce qu’elles pouvaient ressentir, sur leur vie gâchée par une pratique ignoble, un acte de prédation inqualifiable.